La source de l’analyse est l’INSEE :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/7633125?geo=COM-74012&sommaire=7633727
https://www.insee.fr/fr/statistiques/6793282?sommaire=6793391&utm_source=chatgpt.com
Immigrés à Annemasse, recensement 2022
Définition : immigré = né hors de France
Selon les données INSEE (via Linternaute / site tiers), les immigrés représentent environ 10 861 personnes, soit 28,9 % de la population d’Annemasse.
Descendants d’immigrés dans la Haute-Savoie
L’INSEE, dans l’étude Localisation des immigrés et des descendants d’immigrés (2020-2021), indique une part de descendants d’immigrés de ~ 12,2 % pour le département de la Haute-Savoie. (Pour certains départements cette donnée est indiquée comme « non significatif », mais c’est le pourcentage diffusé pour la Haute-Savoie dans le tableau) Insee.
Estimation
Puisqu’il n’existe pas de statistique connue pour les descendants d’immigrés spécifiquement à Annemasse, nous faisons une hypothèse modérée :
On suppose que la proportion de descendants d’immigrés dans Annemasse est similaire à celle du département (12,2 %) — ce qui est une hypothèse a minima, mais c’est le meilleur repère que nous ayons.
Ces descendants d’immigrés ne sont pas inclus dans le chiffre des immigrés (ils sont nés en France).
Dès lors, additionner les deux proportions donne un ordre de grandeur de la population « issue de l’immigration » à Annemasse.
Ainsi :
28,9 % (immigrés) + 12,2 % (descendants d’immigrés estimés) ≈ 41,1 %
Autrement dit, on pourrait estimer qu’environ 41 % de la population d’Annemasse est “issue de l’immigration” au sens large (immigrés + descendants d’immigrés), sous les hypothèses exposées.
Une question est celle du poids politique dérivé de cette photographie.
C’est très simple : faites comme à Annemasse et le résultat sera assuré. Ce n’est pas Thonon qui démentira.





On apprend que ses œuvres graphiques à deux balles, que chacun peut produire en dix secondes, sont clouées aux murs, et réservées à l’admiration des foules. Enfin, la foule est surtout celle des enfants des écoles qui sont obligés de visiter ce lieu.




Il ne fallait surtout pas que le « marché » puisse décider de cet espace. Quelle horreur ! Vous imaginez, des socialo-communistes, façon pastèque, qui accepteraient que dans cette matière qui relève du pouvoir, de leur pouvoir, l’infâme marché puisse s’exprimer. Non, il fallait que dans la logique stalinienne, l’organe central, le Politburo local en décide. Alors l’invention s’est donnée libre cours. Un architecte génial, génial parce que surtout il disait de lui qu’il était génial, a proposé au conseil municipal des bâtiments aux façades verdoyantes, débordant de plantes et de fleurs. Et ça a marché. Les élus, bouche bée, ont voté son projet, le projet du promoteur retenu pour la ZAC.
Puis est venue la gueule de bois du lendemain qui devait chanter éternellement, mais déchante cruellement. Pas une plante. Des façades tristes, qui se dégradent. Une zone.Toute la question est de savoir si les élus, leurs « services », remplis de bureaucrates, font mieux que les intiatives privées. Que se serait-il passé si l’espace de Chablais Parc avait été laissé à l’initiative de ses propriétaires ? Petit à petit, au rythme où s’édifient les villes, les vides se seraient comblés. Naturellement.
